17 août 2006
La Sirène
Ses lignes d'horizon, ondulent sur la plage, invitation au voyage, en lévitation sur la ligne d'O. Tout comme sa chevelure, aux vagues qui me submergent. Son parfum, L'eau d'Issey, effluve iodée qui me fait chavirer. Je me vois maître nageur mais en fait je surnage, je suis en excursion, sur le relief de sa peau. Je rêve de plonger dans toute sa splendeur, de connaître enfin, l'ivresse des profondeurs, de traverser son bras de mer, de long, au large... m'étendre sur son rivage, parcourir sa brune dune, atteindre le rift, étreindre cette Sirène et m'éteindre... dans ses abysses.
Publicité
Publicité
Commentaires
L